Guide sur les "dangers" de la faune marine d'oceanie

Un bouquin pas mal,ecrit par claude maillaud et yves lefebvre(pour ceux qui le connaissent il a été le premier à ouvrir un centre de plongée le Raie Manta Club à Rangiroa en polynesie,il a egalement participé à moults projets subaquatiques).

Aux editions:"au vent des iles"

collection nature et evironnement d'oceanie

Pas bête

Je ne l'ai pas lu donc ce qui va suivre n'est pas une critique ou un jugement sur le livre lui même!

Ce que je trouve (souvent) dommage avec ce genre d'ouvrage c'est que c'est le sensationnalisme lié à la dangerosité de certains animaux marins qui devient le moteur de la vente (ou de l'achat). On ne présente pas ces animaux tels qu'ils sont mais tels qu'ils pourraient apparaître. Oh mon dieu ce cône (il s'agit d'un coquillage pour ceux qui se pose la question) est mortel et dans d'atroce souffrance en plus! On entretient les "mythes", les ragots et les histoires de veillées... Souvent le plus simple pour limiter la casse en plongée avec la faune et la flore c'est de ne pas toucher même si on sait qui est dangereux car:
1 on ne sait pas tout
2 si on sait le binôme lui ne sait peut etre pas mais il risque de vouloir faire pareil
3 on sait mais des fois on a simplement pas vu...

Alors pour revenir aux bouquins faune et flore sub, la bio c'est génial, le sensationnalisme ça n'apporte rien... Un bon film d'horreur fournit plus de frisson.

Fab (palmipède d'eaux froides et vertes évoluant souvent sous la zone des 3m, ne pique pas, ne mord pas hormis dans un bon steak)

Fabrice a écrit:Je ne l'ai pas lu donc ce qui va suivre n'est pas une critique ou un jugement sur le livre lui même!

Ce que je trouve (souvent) dommage avec ce genre d'ouvrage c'est que c'est le sensationnalisme lié à la dangerosité de certains animaux marins qui devient le moteur de la vente (ou de l'achat). On ne présente pas ces animaux tels qu'ils sont mais tels qu'ils pourraient apparaître. Oh mon dieu ce cône (il s'agit d'un coquillage pour ceux qui se pose la question) est mortel et dans d'atroce souffrance en plus! On entretient les "mythes", les ragots et les histoires de veillées... Souvent le plus simple pour limiter la casse en plongée avec la faune et la flore c'est de ne pas toucher même si on sait qui est dangereux car:
1 on ne sait pas tout
2 si on sait le binôme lui ne sait peut etre pas mais il risque de vouloir faire pareil
3 on sait mais des fois on a simplement pas vu...

Alors pour revenir aux bouquins faune et flore sub, la bio c'est génial, le sensationnalisme ça n'apporte rien... Un bon film d'horreur fournit plus de frisson.

Fab (palmipède d'eaux froides et vertes évoluant souvent sous la zone des 3m, ne pique pas, ne mord pas hormis dans un bon steak)

+1 Les fois où je me suis baigné la bas. Je partais du principe qu'il ne fallait toucher à rien.

J'aurais eu l'air malin avec un cône géographique dans la poche du maillot du bain

ça me fait penser à Fierce Creatures ou Créatures féroces

La bête la plus dangereuse dans l'eau, c'est nous.
Maintenant pour l'amateur, c'est une jolie façon de voir comment la faune marine se défend contre les emm

Amis plongeurs,ne vous meprenez pas sur ce livre qui n'a rien d'un receuil de sensationnalisme,au contraire il a été realisé par deux plongeurs emerites qui sont de reels protecteurs de l'environnement subacquatique totalement denués de cupidité et de velehité de rentabilité financiere en voulant publier un ouvrage au titre"racolleur"

Ce livre traite aussi bien des morsures de requins,que de la ciguatera en passant par l'appareil vulnerant des poissons chirurgiens,et par les piqures de cones...(liste non exhaustive...)

Il prone tout a fait la philosophie:je ne touche à rien,je ne fais que regarder...
Et mets souvent en avant que les incidents qui parfois se produisent sont le fruits de la betise de l'homme qui ne sait pas s'adapter au milieu marin...

Ça me rappelle Francis Le Guen, plongeur émérite et respecté s'il en est, mais qui avait tendance dans ses émissions "carnets de plongée" à toucher un peu à tout ce qui bouge.

Lors d'une émission en mer rouge je me souviens l'avoir vu se piquer sur une Acanthaster ; il s'est sucé le doigt pendant toute la fin du reportage, j'avoue que ça m'a fait marrer un peu, en me disant "tu vois, faut rien toucher !"